Le réalisateur de The Flash dévoile les vraies raisons de l’échec du film DC

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Sous la direction d’Andy Muschietti, The Flash a tenté d’éclairer l’horizon du cinéma avec ses effets spéciaux étincelants et sa narration audacieuse basée sur l’arc mythique Flashpoint des bandes dessinées. Pourtant, malgré des attentes soutenues par un casting de renom et un scénario prometteur, le film n’a pas entièrement captivé le public. Muschietti a récemment éclairci les raisons obscures qui ont mené à ce demi-succès en explorant les méandres des défis rencontrés lors de la production et de la commercialisation du film.

Les ombres de la production et du marketing

Muschietti a souligné que la production de The Flash était pavée d’embûches, la plus notable étant les controverses entourant Ezra Miller, l’acteur principal incarnant Barry Allen. Ces circonstances ont non seulement perturbé le tournage, mais ont aussi influencé la perception du public avant même la sortie du film. Les efforts de marketing ont été insuffisants pour détourner l’attention des tumultes extérieurs et recentrer l’intérêt sur la visée artistique du projet.

  • Controverses entourant Ezra Miller
  • Problèmes de marketing insuffisant
  • Visée artistique perturbée par les circonstances extérieures

Le film, puisant dans l’univers multidimensionnel et complexe de Flashpoint, a tenté de réinventer le mythe de Flash. Cependant, cette audace narrative n’a pas suffi à éviter les tourments commerciaux. Selon Muschietti, ce n’était pas une question de créativité ou de manque de talent parmi les acteurs, mais plutôt le nuage d’incertitudes qui planait au-dessus du projet qui a jeté une ombre sur son potentiel de succès.

Des performances d’acteurs et des séquences mémorables

L’un des points forts incontestables du film réside dans les performances remarquées d’Ezra Miller, malgré les controverses, ainsi que celles de Michael Keaton et Sasha Calle qui ont amené Batman et Supergirl sous un jour nouveau et captivant. Ces personnages ont non seulement apporté une profondeur rafraîchissante à l’histoire mais ont également contribué à élargir l’univers DC, bien que celui-ci s’apprête à se transformer sous l’égide de James Gunn.

Le film a également su charmer par ses effets visuels éblouissants et ses séquences d’action dynamiques. Muschietti a su tirer parti de la légendaire vitesse de Flash pour concocter des moments spectaculaires, traduisant parfaitement l’hyper-rapidité du super-héros à l’écran. La musique, composée par Benjamin Wallfisch, et la cinématographie de Henry Braham ont complété cette immersion sensorielle, insufflant à ces scènes une énergie vibrante.

Un dernier acte pour le DCEU tel qu’on le connaît

En parallèle, The Flash se révèle être une pierre angulaire dans le processus de métamorphose de l’univers cinématographique DC. Avec le dénouement de cet opus, le DCEU tire sa révérence pour laisser place à un paysage cinématographique gouverné par James Gunn, qui promet de redéfinir les bases narratives et stylistiques des prochaines collaborations de DC.

  • La prestation de Michael Keaton en Batman
  • Sasha Calle incarnant une Supergirl inédite
  • James Gunn à la tête d’un nouvel univers DC

Mis à part le récit principal, le spectateur a apprécié les retours d’autres icônes du DCEU, tels que Ben Affleck en Batman et Michael Shannon dans le rôle du général Zod. Ces apparitions ont offert une continuité appréciable, reliant les fils des histoires passées tout en laissant présager de nouvelles intrigues captivantes.

Dans cette œuvre, malgré les turbulences, The Flash a donc réussi à offrir un spectacle qui, s’il n’a pas été aussi éclatant qu’espéré sur le plan commercial, parvient tout de même à graver un souvenir marquant dans la chronologie des films DC grâce à son approche novatrice et ses performances mémorables.

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