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Sony Interactive Entertainment, le géant de l’industrie vidéoludique, est en train de réfléchir à l’acquisition potentielle de Kadokawa Group, un acteur majeur de la production de contenus multimédia rangés sous différentes formes : que ce soit des mangas, des jeux vidéo, des séries télévisées ou encore des films. Cette prise de contrôle pourrait modifier considérablement le paysage culturel et technologique, surtout dans l’univers des jeux vidéo.
Aspiration à un contrôle élargi : plus qu’une simple acquisition?
En mettant la main sur Kadokawa, Sony se permettrait d’acquérir des studios de développement influents comme FromSoftware, réputé pour des titres légendaires tels que Dark Souls, Bloodborne, et plus récemment Elden Ring. D’autres studios inclus dans ce deal seraient Spike Chunsoft et Acquire, deux entités également bien implantées dans l’industrie vidéoludique.
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Sony détient déjà 14,09% de FromSoftware et 2% de Kadokawa.
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Acquérir Kadokawa signifierait que Sony posséderait une part massive de 83,75% de FromSoftware.
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Le reste du capital étant détenu par Sixjoy Hong Kong, une branche de Tencent, il subsiste malgré tout un petit besoin de collaboration partagée post-acquisition.
En ce qui concerne l’acquisition, de nombreux passionnés de FromSoftware s’inquiètent de la probable mainmise de Sony sur le développement créatif de nouveaux jeux qui pourraient devenir des exclusivités pour les consoles PlayStation. Des interrogations surgissent sur l’impact potentiel sur des franchises qui ont gagné en popularité grâce à leur accessibilité cross-plateforme.
Un coup de poker dans l’expansion multimédia de Sony
Cette acquisition serait aussi en accord avec les visées de Sony de dominer l’éco-système multimédia, notamment après les divers rachat récents de Crunchyroll, Wakanim et Funimation. Kadokawa, fondée en 1945, se spécialise non seulement dans l’édition papier mais également dans des produits tels que les figurines et les anime. Sous le parapluie de Kadokawa, des entreprises notables comme Dwango, qui exploite la plateforme Niconico, se trouveraient également aspirées par Sony.
Estimons que cette alliance renforce le positionnement de Sony dans l’animation et le divertissement interactif. Les discussions prennent une tournure sérieuse mais aucun communiqué officiel n’a encore avalisé l’accord, laissant des spéculations en marge.
Voici toutefois un autre aspect stimulant : il est envisageable que les studios repris continuent leur autonomie créative, poursuivant le développement de titres multi-plateformes. Cette perspective offrirait une ventilation nécessaire parmi les plateformes de jeux, méditant sur des collaborations à futures pour divers marchés. On prévoit que la répartition des jeux pourrait demeurer conviviale pour maintes consoles, allégeant ainsi les préoccupations tenant à des exclusivités oppressives.
FromSoftware et ses mystères en développement
Ce qui attire également les esprits, ce sont les multiples projets pour FromSoftware, qui se dévoilent lentement : plus de 20 jeux seraient actuellement en cours de développement. Cette vitalité interne fait dire aux experts que quelques chapitres célèbres pourraient bientôt voir leurs suites débarquer, pour encore pimenter le marché du jeu vidéo.
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FromSoftware est à l’origine de titres entrant directement dans la culture populaire.
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On répertorie ici Dark Souls, Sekiro, et Elden Ring comme des références acquises qui gardent une place de choix chez les fans.
Au-delà de cela, l’incertitude persiste sur la tournure numérique d’une union Sony-Kadokawa. Ceci étant moins par crainte, plus par curiosité d’un futur technologique sur lequel beaucoup pourraient parier. Qui sait, la réunion de tant de talents ne pourrait-elle pas infléchir le paradigme mondial des jeux vidéo, pour le meilleur et non le pire ? Tout reste encore à observer.
Quoi qu’il en soit, les prochaines semaines s’annoncent cruciales, avec l’espoir d’une révélation décisive qui mettrait fin aux rumeurs, tout en concrétisant une manœuvre commerciale de premier plan. La sphère du divertissement ne devrait pas dormir sur ses lauriers, surtout pas avec une possible secousse de Sony sur l’horizon créatif et culturel.
